Le capteur d’idées EurekIA™ est un outil créatif qui combine de récentes découvertes en neurosciences et des technologies logicielles avancées dont l’IA, pour capturer et développer vos idées créatives. 

EurekIA™ utilise une application mobile et le « Capteur d’idées » EurekIA™, inspiré de l’œuf de Colomb, pour enregistrer et transcrire automatiquement en texte vos « moments eurêka ! » ou « moments aha ! » qui surviennent lors de « Siestes créatives ».

La “Sieste créative” est une technique de créativité presque oubliée, utilisée par des génies historiques comme le peintre surréaliste Dalí, l’inventeur Thomas Edison et probablement le physicien Albert Einstein. Cette technique de créativité a été récemment validée par les neurosciences.

Le cerveau de chacun est unique ! Même si vous ne possédez pas le cerveau de Dalí, d’Edison ou d’Einstein, grâce à EurekIA™ vous pouvez reproduire leur protocole créatif et multiplier vos « moments eurêka ! », vous assurant ainsi de ne plus jamais perdre les brillantes idées surgissant de votre cerveau.

EurekIA™ est aussi une méthode qui vous guide avec des informations personnalisées et des exercices pour entraîner votre créativité, en gardant toujours l’humain au cœur du processus créatif.

Selon la légende, « Eurêka ! » est le cri poussé par le savant grec Archimède (-287, -212) lorsqu’il comprit les lois physiques qui régissent les objets immergés dans un liquide (hydrostatique), alors qu’il prenait un bain, peut-être en somnolant. « Eurêka » est un mot grec qui signifie « J’ai trouvé ».

Un « moment eurêka !« , on dit aussi un « moment aha ! », est l’instant où une idée émerge spontanément et involontairement de nos pensées, souvent au moment de l’endormissement (hypnagogie), pendant une sieste, en rêvant, ou lors d’activités calmes comme marcher, jouer de la musique ou prendre une douche. 

Un « moment eurêka ! » ne sort pas de nulle part. Il résulte le plus souvent d’une longue période de réflexion et parfois même d’une véritable obsession pour un problème, avec des périodes de travail concentré, de rêverie, et de contemplation où l’inspiration se nourrit et les solutions se trouvent. En général, le « moment eurêka! » survient lors d’un moment calme, après un travail acharné et concentré de traitement analytique.

Un « moment eurêka ! » n’est pas seulement de la créativité divergente, ni de la créativité convergente, mais bien une combinaison des deux. C’est une solution à la fois « toute faite » et « adaptée » au problème, et non pas simplement une « idée étrange », ni une « combinaison inhabituelle » ou ce qu’on appelle une bissociation – c’est LA SOLUTION.

Le « moment eurêka ! » représente le summum de la créativité humaine, sa forme la plus accomplie.

De nombreuses découvertes, inventions et chefs-d’œuvre résultent de « moments eurêka ! ».

Aristote (-384,-322), l’un des philosophes les plus influents de l’histoire, fut probablement le premier adepte de la « Sieste créative » de l’histoire.

Selon la légende, « Eurêka ! » est le cri d’Archimède (-287, -212) lorsqu’il comprit les lois physiques qui régissent les objets immergés dans un liquide, alors qu’il prenait un bain.

La légende raconte qu’Isaac Newton (1642, 1727) aurait découvert la gravité en voyant une pomme tomber d’un arbre sous lequel il dormait. Mais il semble que l’histoire de Newton ait été quelque peu embellie par ses biographes.

Napoléon Bonaparte (1769, 1821), l’un des plus grands militaires de l’histoire, faisait de fréquentes siestes qui inspiraient sa planification stratégique.

Mary Shelley (1797, 1851) a rêvé de son roman Frankenstein, obsédée par l’idée de ressusciter les morts, après le décès de son bébé de sept mois.

Le chimiste russe Dmitri Mendeleïev (1834, 1907) aurait rêvé du tableau périodique qui a permis de prévoir les propriétés d’éléments chimiques non encore découverts.

Le prolifique inventeur Thomas Edison (1847, 1931) utilisait la technique de la « Sieste créative » pour puiser dans sa créativité. Edison tenait un roulement à bille dans une main, anticipant qu’elle tomberait et le réveillerait lorsqu’il s’endormirait. Cela permettait à Edison d’écrire dans un carnet les idées fugaces qui surgissent pendant la transition vers le sommeil, et qui sont généralement oubliées une fois complètement réveillé.

Dans son livre « Dalí – 50 Secrets Magiques », le peintre surréaliste Salvador Dalí (1904, 1989) offre des conseils aux aspirants peintres. Dalí y décrit des astuces comme la « Sieste créative » d’une seconde, qui consistait à s’asseoir droit, à tenir une clé dans une main et à placer une assiette en dessous. Une fois endormi, la clé tombait et le tintement qui en résultait lui assurait un réveil immédiat.

Un rêve a déclenché la percée scientifique d’Otto Loewi (1873, 1961), prix Nobel de médecine. Loewi a rêvé d’une expérience pour prouver la nature chimique de la transmission de l’influx nerveux. Excité, il se réveille et griffonne son idée sur un morceau de papier, pour la trouver indéchiffrable le matin. Heureusement, le destin est intervenu, car le rêve s’est reproduit la nuit suivante, incitant Loewi à se précipiter à son laboratoire et à mener l’expérience avec succès. En réalité, il semblerait que Loewi ait simplement pris des notes lisibles la seconde nuit. Cette anecdote ne fait que souligner l’importance d’avoir sous la main un  simple calepin ou un outil moins intrusif comme le « Capteur d’idées » EurekIA™.

Le physicien et lauréat du prix Nobel Albert Einstein (1879-1955) était connu pour dormir jusqu’à dix heures par nuit. Einstein faisait également de nombreuses siestes, de longues promenades et il jouait du violon, toutes des activités reconnues comme favorables à l’émergence de « moments eurekâ! ». Einstein maîtrisait les expériences par la pensée, des outils conceptuels proche de la rêverie, qu’il utilisait pour explorer les implications de théories physiques. Des scientifiques jugent probable que ces habitudes d’Einstein l’ont aidé à générer des idées révolutionnaires comme la théorie de la relativité.

Paul McCartney (1942,) des Beatles a révélé, dans un balado en 2024, que la chanson  « Yesterday » lui est venue en rêve.

À voir, la « liste des œuvres basées sur des rêves » sur Wikipédia.

La créativité est essentielle pour résoudre des problèmes difficiles, produire des chefs-d’œuvre, faire des découvertes scientifiques, mener à bien des projets complexes et concevoir des objets et des œuvres d’art. Nous ne pouvons tout simplement pas nous passer de la créativité.

D’abord, définissons la créativité

Selon le consensus scientifique, la créativité est la capacité de produire ou de réaliser quelque chose de nouveau et d’original, tout en étant adapté au problème ou au contexte en question. 

Quelle est la différence entre créativité et imagination ?

La créativité et l’imagination sont étroitement liées, mais elles ne sont pas la même chose. La créativité est l’acte de créer quelque chose de nouveau dans le monde réel, tandis que l’imagination traite de pensées qui sont libres des contraintes de la réalité. En science et en ingénierie, la créativité prédomine alors qu’en art l’imagination est reine.

Pour des raisons pratiques, nous assumerons un abus de langage en employant le mot créativité à la place d’imagination et cela même dans un contexte artistique.

Une « Sieste créative » n’est pas vraiment une sieste mais plutôt un état de semi-conscience appelé hypnagogie, ou stade N1 du sommeil lent, un sommeil sans mouvements oculaires rapides (en anglais, NREM, Non-Rapid Eye Movement) qui se situe à la frontière entre l’éveil et le sommeil. Cet état dit hypnagogique peut durer de quelques secondes à plusieurs minutes, alors que l’on s’endort progressivement.

Pendant l’hypnagogie, les états focalisé et diffus du cerveau coexistent. C’est précisément un état où les « moments eurêka ! » ou « moments aha ! » ont plus de probabilité de survenir.

Dalí, Edison et probablement Einstein. partageaient une méthode astucieuse : ils faisaient une sieste avec un objet dans la main. Alors qu’ils s’endormaient, l’objet leur glissait des mains et le bruit de sa chute sur le sol les réveillait. C’est à ce moment précis qu’une idée faisait souvent surface, se révélant parfois être un brillant « moment eurêka ! ».

La « Sieste créative » est un « rituel » pour multiplier les « moments eurêka ! » mais ceux-ci peuvent se produire à chaque fois que le cerveau est en mode par défaut.

Maintenant, comment parvenir à s’endormir, comme ça, en pleine journée, quand on n’y est pas habitué ?

C’est là qu’une méthode comme la méthode 4-7-8 du médecin Andrew Weil, s’avère utile. Une autre technique, pratiquée entre autres par Thomas Edison, est la privation partielle de sommeil ou encore le sommeil polyphasique (en plusieurs sessions ou cycles de sommeil pendant la journée) qui permettent de s’endormir pratiquement à volonté.

Ce qu’il faut retenir… La “Sieste créative” n’est pas l’unique moyen de vivre des « moments eurêka ! » mais c’est un moyen efficace de les multiplier, les capter et les exploiter, plutôt que de s’en remettre au seul hasard.

Attention! Face à un nouveau concept, il est naturel d’essayer de l’associer à quelque chose de plus familier. Mais il faut se méfier des raccourcis.

Beaucoup de personnes font de courtes “siestes énergisantes » (en anglais, power naps) d’une durée d’environ 20 minutes en prenant parfois un café fort pour augmenter leur énergie et leur productivité, mais ces “siestes énergisantes” bien connues sous le vocable anglais de « power naps » ne sont pas des « Siestes créatives ».

La « Sieste créative » est généralement très brève, ne durant que quelques secondes ou minutes, et n’implique aucune prise de stimulant. En français, on parle aussi de “sieste éclair” et parfois de « micro sieste » pour désigner la « Sieste créative » bien qu’encore là on la confonde parfois avec la sieste énergisante.

Une meilleure analogie pour la « Sieste créative » serait ces moments où vous vous réveillez le matin avec la solution à un problème, ou lorsqu’une idée vous vient en faisant la sieste, en rêvassant, en vous promenant dans les bois, en écoutant ou en jouant de la musique, ou en prenant une douche, etc.

Définition de la créativité

Selon le consensus scientifique, la créativité est la capacité de produire ou de réaliser quelque chose à la fois nouveau et original, tout en s’adaptant au problème ou au contexte en question.

D’après Margaret Boden [1], chercheuse en sciences cognitives (University of Sussex), il existe trois types de créativité:

1-La créativité combinatoire génère de nouvelles combinaisons d’idées familières ;

2-La créativité exploratoire génère de nouvelles idées en explorant des « espaces conceptuels » qui peuvent être des styles en art ou des théories en science, en particulier leur contenu, leurs limites et leur potentiel. En bref, les espaces conceptuels représentent des méthodes culturellement acceptées pour accomplir des tâches dans un domaine spécifique;

3-La créativité transformationnelle consiste à générer des idées qui vont au-delà des styles ou des théories existants pour en créer de nouvelles, totalement originales. Elle est basée sur l’intuition et la perspicacité, autrement dit, la créativité transformationnelle émerge souvent de « moments eurêka ! ».

L’histoire des arts et des sciences est ponctuée de ces fameux « moments eurêka ! », ces instants d’illumination soudaine qui ont conduit à des découvertes et des inventions révolutionnaires. Le terme lui-même provient de la légende d’Archimède qui aurait crié « Eurêka ! » en découvrant la loi de la poussée hydrostatique.

Ces « moments Eurêka ! » semblent surgir spontanément, souvent en lien avec des états de sommeil ou de semi-conscience, comme le réveil, la sieste, la rêverie, l’endormissement (hypnagogie), voire parfois le rêve. Le processus créatif impliqué comporte une interaction dynamique entre l’attention focalisée et la divagation de l’esprit, guidée par un mécanisme qui identifie et sélectionne les idées originales et pertinentes. 

Dans son ouvrage « Essai sur la psychologie de l’invention dans le domaine mathématique«  [2], le mathématicien Jacques Hadamard explore le processus de découverte-invention en mathématiques en s’appuyant sur son expérience personnelle et les témoignages d’autres grands mathématiciens dont Henri Poincaré et le physicien Albert Einstein. Hadamard qui insiste sur l’importance de l’intuition et de l’inconscient décrit quatre phases principales dans le processus de découverte-invention: 

1- La préparation : phase consciente et réfléchie où la personne créative établit des relations entre ses connaissances et le problème à résoudre;

2- L’incubation : période de travail inconscient;

3- L’illumination : “moment eurêka !” de compréhension ou de découverte;

4- La vérification-finition : phase de validation et d’élaboration consciente des résultats.

Salvador Dalí [3], Thomas Edison [4] et probablement Albert Einstein [5], conscients de l’importance de ces moments de lucidité, partageaient une méthode particulière pour stimuler leur créativité et capturer leurs éclairs d’inspiration. Ils pratiquaient ce qu’on appelle une « Sieste créative » : une sieste durant laquelle ils tenaient un objet dans leur main, qui tombait et les réveillait au moment de l’endormissement, souvent l’instant précis où surgissait une bonne idée.

Cette technique, presque oubliée, a été récemment validée par les neuroscientifiques. En 2021, une équipe de neuroscientifiques français a confirmé l’efficacité de la « Sieste créative », démontrant qu’elle améliorait de 300% la résolution d’énigmes mathématiques [2]. En neurosciences, il a été établi que l’état d’hypnagogie, caractérisé par une semi-conscience entre l’éveil et le sommeil, est particulièrement propice à la créativité. Il permet une libre circulation des pensées et de leurs associations, semblable à celle du rêve, tout en conservant suffisamment de conscience pour se souvenir de ses pensées. Une « Sieste créative » de quelques secondes seulement, à mi-chemin entre l’éveil et le sommeil, a donc la capacité de stimuler la créativité.

L’étude « Sleep onset is a creative sweet spot« , publiée le 8 décembre 2021 dans Science Advances [3], montre l’importance de ces moments de repos dans le processus créatif, offrant ainsi une méthode structurée pour accéder à l’inspiration et à l’innovation. Un article du Scientific American [5] aborde l’étude française, soulignant une période de créativité accrue dans l’état semi-lucide juste avant de s’endormir et évoquant la technique de sieste de Thomas Edison [5].

Aussi, John Kounios, Ph.D., dans un balado de l’American Psychological Association [7], explore les « moments eurêka ! », ces moments d’inspiration soudaine comme constituant une forme essentielle de la pensée créative, détaillée détaillée dans un livre qu’il a écrit avec Mark Beeman « The Eureka Factor«  [8]. Le New Yorker, dans un article [9], examine le travail de recherche Beeman sur l’intuition, un élément clé de la créativité, mettant en lumière les processus neurologiques derrière ces moments de lucidité.

Enfin, Christopher Dwyer de Psychology Today [9] analyse de manière critique les « moments eurêka ! », suggérant qu’il s’agit moins de moments d’illumination isolés que du résultat d’un processus de pensée soutenu et évolutif. 

Ensemble, ces études offrent une compréhension plus approfondie de la créativité, soulignant le rôle particulier de la « Sieste créative » dans la stimulation et l’exploitation des « moments eurêka ! ». Ces recherches se poursuivent et vous pourriez y contribuer…

Possibilités et limites

L’étude « Sleep onset is a creative sweet spot » [3] montre un accroissement de 300 % dans la performance de résolution d’énigmes mathématiques entre ceux qui ont tenté de résoudre ces problèmes pendant une « Sieste créative » et ceux qui n’ont pas fait de « Sieste créative » ou sont tombés dans un sommeil profond [2]. Cela montre que la « Sieste créative » favorise la production d’idées effectives pour résoudre des problèmes.

Pour être honnête, il s’agit de bien petits « moments eurêka ! » comparés à ceux de génies comme Dalí [4], Edison [5] ou Einstein [6]. En fait, l’importance des « moments eurêka ! » est liée aux capacités de l’individu, à son cerveau et aux problèmes qu’il aborde. Malheureusement, faire une “Sieste créative” ne transforme pas, comme par magie, n’importe quel individu en génie. Vous ne pouvez pas avoir les idées d’Einstein si vous n’avez pas le cerveau d’Einstein, ses connaissances en physique et son obsession pour certains concepts fondamentaux comme le temps, l’espace et la gravité. La bonne nouvelle est que chacun d’entre nous, simple créatif ou grand génie, peut profiter et stimuler sa créativité naturelle grâce à la « Sieste créative ». 

Enfin, si Dalí [4], Edison [5] et probablement Einstein [6] s’adonnaient au rituel de la « Sieste créative », c’est parce qu’ils en retiraient un certain bénéfice, par exemple pour entraîner leur cerveau ou ne serait-ce que pour éviter d’oublier une idée géniale mais fugitive !

Les professions et les métiers des personnes créatives sont très variés. Les créatifs sont des gens qui apportent quelque chose de nouveau au monde. On y trouve beaucoup d’artistes, de chercheurs, des inventeurs, des ingénieurs, des designers et des publicitaires. Cependant, la créativité ne se limite pas à ces domaines ; on la retrouve également dans des secteurs comme l’entreprenariat, l’agriculture, l’enseignement, la gestion et même la police, où les enquêteurs doivent faire preuve de créativité dans leur travail.

Le trait psychologique dominant chez les créatifs est la curiosité qu’on peut définir comme une envie d’information pour elle-même, un désir de savoir. Une étude intitulée « A Meta-Analysis of the Relationship between Curiosity and Creativity » [11] a montré que plus une personne est curieuse, plus elle est susceptible d’être créative. Cette corrélation souligne l’importance de la curiosité comme moteur de la créativité.

Conclusion

EurekIA™ se distingue par son approche unique de la créativité en exploitant les « moments eurêka ! » par la pratique de la « Sieste créative », des moments de lucidité et d’inspiration soudaine qui ont historiquement conduit à des découvertes, chefs-d’œuvre et inventions majeures.

EurekIA™ est conçu pour stimuler, multiplier, exploiter et surtout capturer les « moments eurêka ! » en plaçant les personnes au centre du processus créatif. Cela se fait grâce à la pratique de la « Sieste créative » avec l’aide du « Capteur d’idées » EurekIA™.

Bibliographie

[1] BODEN Margaret (2010), « Creativity and art: Three roads to surprise« . Oxford University Press.

[2] HADAMARD Jacques, HADAMARD Jacqueline (1975). “Essai sur la psychologie de l’invention dans le domaine mathématique”. Paris: Gauthier-Villars.

[3] LACAUX Célia, ANDRILLON Thomas, BASTOUL Céleste, IDIR Yannis, FONTEIX-GALET Alexandrine, ARNULF Isabelle, & OUDIETTE Delphine (8 décembre, 2021). « Sleep onset is a creative sweet spot« . Science Advances, 7 (50).

[4] CARACCIO Mina, KRYGER Meir H. (2023). Salvador Dalí: Hypnagogic Hallucinations in Art. Sleep Health: Journal of the National Sleep Foundation, 9(1), 1-2.

[5] BRET Stetka (9 décembre, 2021). « Thomas Edison’s Naps Inspire a Way to Spark Your Own Creativity« , Scientific American.

[6] GORVETT Zaria (12 juin, 2017). « What you can learn from Einstein’s quirky habits« , BBC.

[7] KOUNIOS John (août 2021) « Speaking of Psychology: Creative Insight« , American Psychological Association.

[8] BEEMAN Mark, KOUNIOS John (2015) “The Eureka Factor: Aha Moments, Creative Insight, and the Brain“, Random House.

[9] KONNIKOVA Maria (27 mai, 2014). « Where Do Eureka Moments Come From? » (May 27, 2014), The New Yorker.

[10] DWYER Christopher (5 août, 2021). « When Do Genuine ‘Eureka’ Moments Happen?”. Psychology Today

[11] SCHUTTE Nicola S., MALOUFF John M. (10 juillet, 2019). “A Meta-Analysis of the Relationship between Curiosity and Creativity”, The Journal of Creative Behavior, 54(4), 940-947.

Avant toute chose, vous devez être complètement immergé, voire obsédé par l’œuvre que vous souhaitez créer ou le problème que vous voulez résoudre. Sinon, vous risquez de vous laisser distraire par vos soucis personnels, les réseaux sociaux ou par l’actualité.  

Préparation d’une “Sieste créative”

Une fois que vous êtes profondément imprégné par votre problème, votre invention ou votre œuvre d’art, trouvez un endroit calme et installez-vous dans un fauteuil confortable.

L’expérience de la « Sieste créative », du début à la fin, devrait prendre moins de dix minutes. Bien que ceux qui sont habitués à faire la sieste puissent s’endormir en moins de cinq minutes, accordez-vous suffisamment de temps – jusqu’à une heure au total pour vos premières « Siestes créatives ».

Vous avez besoin de temps pour calmer votre esprit, oublier les distractions comme les réseaux sociaux et laisser aller les soucis du quotidien.

Suivez le conseil du célèbre acteur britannique et ancien membre des Monty Python, John Cleese*, la clé est de simplement s’asseoir et d’attendre patiemment, même au milieu du flot initial de pensées et d’une légère anxiété. Donnez à votre esprit le temps de se calmer, et il finira par trouver le calme.

Pour vous endormir, vous devez libérer votre esprit des distractions et des urgences. C’est dans la nature humaine de se laisser prendre par les futilités, en négligeant les tâches importantes qui demandent une réflexion plus approfondie. Nous préférons souvent le confort de petites tâches familières, comme les interactions sur les réseaux sociaux, à l’incertitude de projets plus importants.

Maintenant, si vous n’avez pas l’habitude de faire la sieste, comment vous endormir en pleine journée ? C’est là qu’une méthode comme la méthode 4-7-8 du médecin Andrew Weil, peut s’avérer utile. Une autre technique, pratiquée entre autres par Edison, est la privation partielle de sommeil ou encore la pratique du sommeil polyphasique (en plusieurs sessions ou cycles de sommeil) qui permettent de s’endormir pratiquement à volonté. En clair, la veille de votre première « Sieste créative », vous devriez faire une courte nuit.

Détection de  l’endormissement

Au moment de l’endormissement, à cause du relâchement musculaire, la main qui tient le « Capteur d’idées » s’entrouvre et le « Capteur d’idées » tombe au sol.

Lorsque le « Capteur d’idées » touche le sol, le bruit de tintement du grelot qu’il contient sera détecté par l’application mobile EurekIA. En edffet, grâce à l’apprentissage profond (une technique d’IA), l’application mobile EurekIA peut identifier le tintement caractéristique d’une clochette, d’un grelot, ou d’une cuillère qui heurte une assiette. Ceci évitera à l’application mobile de vous réveiller à cause d’un bruit ambiant ou d’une conversation. 

Instructions :

1- Placez un tapis, une couverture ou un vêtement au sol pour recevoir délicatement et silencieusement le « Capteur d’idées ».

2- Gardez votre téléphone intelligent dans une main ou placez-le à proximité

3- Lancez l’application mobile EurekIA™

4- Allez dans les réglages de l’application mobile (menu principal en haut à droite + « RÉGLAGES DE L’APPLICATION »)

* Choisissez la « Méthode de saisie de vos idées: »

* Pour l’enregistrement vocal, cliquez sur « Dictée / enreg. vocal »

* Pour un enregistrement immédiat après la sonnerie de réveil, cochez « Démarrage auto. de l’enreg. »

* Pour la saisie au clavier, cliquez sur « Au clavier / texte »

* Choisissez la sonnerie de réveil:

* Cliquez sur « Réglage de la sonnerie de l’appareil »

* Sélectionnez la sonnerie que vous désirez associer à EurekIA™

* Réglez la « Durée de la sonnerie (sec.) » en secondes

* Fixez la durée du « Délai avant la sonnerie de réveil: » en minutes et secondes

* IMPORTANT! Sauvegardez les réglages en cliquant le bouton « Sauvegarder » en bas à droite

5- Retournez au menu principal et choisissez « NOUVELLE CRÉASIESTE », puis appuyez sur le gros bouton rond « PRÉPARER UNE CRÉASIESTE ».

6- Vous aurez une seconde avant qu’un signal sonore et un retour visuel n’indiquent que le « Capteur d’idées » est réglé et attend que vous vous endormiez.

7- Dans votre main libre, tenez la petite extrémité du « Capteur d’idées », soit la pointe de « l’œuf EurekIA™ ». Vos doigts doivent être juste assez serrés pour empêcher le « Capteur d’idées » de tomber au sol. L’objectif est que le relâchement musculaire provoque la chute du « Capteur d’idées » lorsque vous vous endormirez.

8- Une fois que la sonnerie de réveil s’est fait entendre, l’application mobile EurekIA™ enregistre tout ce que vous dites. Ainsi, EurekIA™ minimise les frictions et vous évite de perdre votre précieux « moment eurêka ! »

9- La transcription de votre « moment eurêka ! » du format audio en format texte est réalisée automatiquement par le logiciel et le matériel natif de votre téléphone. La qualité de la transcription varie énormément dépendant des capacités de votre téléphone.  

Vous pouvez vous assurer d’une meilleure qualité de transcription en vous abonnant au service de transcription EurekIA™ (en développement).

La transcription de vos idées en textes permet d’analyser vos idées, les organiser, les visualiser, les partager, les combiner, les enrichir, et les transformer en plans d’action dans « l’Atelier d’idéation » EurekIA™ (en développement).

*Note: John Cleese ne faisait pas de « Siestes créatives » proprement dites, mais pratiquait plutôt des séances de « rêverie créative » dans un environnement calme et favorisant l’expression créative.

EurekIA™ est conçu pour les professionnels de la création, les artistes, les designers, les ingénieurs, les innovateurs technologiques et les chercheurs scientifiques. En fait, toute personne cherchant à stimuler sa créativité et à capturer des idées spontanées peut bénéficier de nos outils.

L’usage d’un « Capteur d’idées » s’inscrit dans l’adoption d’une nouvelle habitude, le rituel de la « Sieste créative ». De plus, placé dans votre environnement de travail, le joli œuf du « Capteurs d’idées » EurekIA™ sert de rappel afin de créer plus aisément l’habitude des « Siestes créatives ».

Les créatifs de haut niveau pourront exploiter leurs « moments eurêka ! » naturels. Malgré tout le battage médiatique, il est improbable qu’un outil d’IA générative puisse bientôt rivaliser avec ces moments de pur génie humain.

Bravo, vous êtes très créatif! C’est précisément pour vous qu’EurekIA™ a été conçu, pour stimuler et mieux exploiter votre créativité naturelle.

D’ailleurs ceci explique pourquoi le peintre surréaliste Salvador Dalí, l’inventeur Thomas Edison et probablement le physicien Albert Einstein pratiquaient le rituel de la « Sieste créative ». Honnêtement, croyez-vous que ces génies reconnus faisaient des « Siestes créatives » parce qu’ils manquaient d’imagination ?

Tout comme les athlètes entraînent leur corps à performer, les grands  créatifs entraînent leur esprit à être plus créatifs.

Cela dit, personne ne vous oblige à faire quoi que ce soit. Soit vous entraînez votre créativité avec des méthodes scientifiquement prouvées comme la « Sieste créative » et des outils comme le « Capteurs d’idées » EurekIA™, soit vous laissez le hasard décider, au risque de ne pas réaliser votre plein potentiel créatif. Vous pouvez aussi dormir sur vos lauriers créatifs et laisser des individus moins créatifs vous rattraper en utilisant des béquilles de l’IA générative. C’est à vous de voir…

Enfin, peut-être hésitez-vous à acheter un produit nouveau? Qu’à cela ne tienne, vous pouvez essayer la « version Découverte » de l’application mobile EurekIA™ qui est gratuite.

Rappelons qu’EurekIA™ vise à stimuler, multiplier et exploiter les « moments eurêka ! » – considérés comme le summum de la créativité humaine – en gardant l’humain au centre du processus créatif.

La prolifération d’outils d’IA générative dont les robots conversationnels génératifs, comme ChatGPT, Claude , Gemini, LLaMa, DeepSeek, etc., et les outils de génération texte-à-image, comme Dall-E, Imagen, Midjourney, Stable Diffusion, etc., provoquent des débats animés dans les communautés créatives et chez les scientifiques autour de la propriété intellectuelle et de leur potentiel créatif.

Maintenir, entraîner et développer votre créativité naturelle en synergie avec l’IA

L’objectif de « l’Atelier d’idéation » EurekIA™ (en développement) est de maintenir, entraîner et développer votre créativité naturelle en synergie avec les outils d’intelligence artificielle, pas de la remplacer.

L’idée n’est pas de s’opposer à l’IA mais plutôt de choisir les bons outils et les utiliser judicieusement en mettant l’humain au cœur du processus créatif ce qui passe par la capture de vos « moments eurêka ! ».

L’abus de l’IA générative représente un risque pour votre créativité naturelle

Des études scientifiques récentes mettent en garde sur le risque que représente l’utilisation intensive d’outils d’IA générative sur nos capacités créatives [1]. En effet, les neurosciences sont claires là-dessus : nous devenons ce que nous faisons avec notre cerveau. Le cerveau est affecté par la façon dont nous l’utilisons. Il n’est guère exagéré de s’attendre à ce qu’une utilisation intensive des outils numériques modifie le cerveau humain en raison de la neuroplasticité. Et comme les muscles qui s’atrophient, notre capacité naturelle à nous sentir inspiré / créatif peut être plus difficile à exploiter à mesure que nous l’utilisons moins souvent.  

« Près de trois participants sur quatre ont dit aux chercheurs qu’ils craignaient que l’utilisation de ChatGPT n’entraîne une atrophie de leurs propres muscles créatifs. » [4] – François CANDELON du Boston Consulting Group 

Demander à un outil d’IA de générer des idées, rédiger un texte ou résoudre un problème à notre place peut-être pratique, mais cela court-circuite notre cerveau, en contournant les circuits neuronaux qui accompagnent la maîtrise des processus mentaux impliqués dans la créativité, la résolution de problèmes ou l’écriture de textes. Nous seuls pouvons créer et renforcer nos connexions neuronales, et ce uniquement grâce à notre propre travail intellectuel. 

Par exemple, on a démontré que l’usage « intensif » du GPS réduit le nombre de neurones et de connexions dans notre hippocampe donnant lieu à une atrophie hippocampique [6]. À l’inverse, cela explique pourquoi les chauffeurs de taxis londoniens ont un hippocampe surdéveloppé, car pour réussir l’examen de chauffeur, ils doivent connaître Londres par cœur [7].

Des chercheurs en neuroscience ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique pour observer les changements dans le cerveau d’adultes apprenant à jongler. Après trois mois d’entraînement, certaines zones du cerveau responsables du traitement des mouvements complexes s’étaient épaissies. Cependant, après trois autres mois sans pratique, ces changements dans le cerveau avaient disparu. Cette étude montre que l’apprentissage modifie physiquement le cerveau et que, comme un muscle, si on n’utilise pas ces nouvelles connexions, elles s’affaiblissent. C’est la preuve que pour les réseaux de neurones dans notre cerveau, c’est « utilisez-les ou perdez-les ! » [8], [9].

« Donc ça vient appuyer le fameux “use it or loose it” à propos des connexions neuronales et de l’apprentissage » [8] – Bruno DUBUC, neurobiologiste

Les neurosciences sont claires à ce sujet. Le développement et le maintien de capacités cognitives complexes nécessitent un travail actif et ne peuvent pas reposer uniquement sur l’assistance technologique. 

Une étude suisse récente [10] montre une corrélation négative significative entre l’utilisation fréquente d’outils d’IA générative et les capacités de pensée critique, facilitée par un délestage cognitif accru [10]. Les participants les plus jeunes de cette étude ont montré une plus grande dépendance aux outils d’IA et des scores de pensée critique inférieurs à ceux des participants plus âgés [10].

Bien que la relation de cause à effet ne soit pas encore établie avec certitude, un nombre croissant de recherches suggèrent que la dépendance à ces outils pourrait conduire à un déclin cognitif généralisé. À long terme, l’usage intensif des outils d’IA générative et la loi du moindre effort risquent de créer une génération de personnes « cognitivement assistées », abonnées à vie aux outils d’IA générative.

Une image valant mille mots, regardez une publicité d’Apple [11] qui illustre avec humour le risque que représente l’abus de l’utilisation des outils d’IA générative.

L’IA générative est surtout utile aux moins créatifs

Des études scientifiques un consensus se dégage montrant que les outils d’IA générative peuvent aider les personnes moins performantes à surpasser des personnes moyennes [1], [2], [3], [4].    

 «  les principaux bénéficiaires de l’utilisation de l’IA sont les sujets
    ayant des compétences inférieures à la moyenne.  » [3], [4]

«  L’inégalité entre les travailleurs diminue, car ChatGPT rétrécit la distribution de la productivité en bénéficiant davantage aux travailleurs peu qualifiés. » [1]

«  Les étudiants les plus faibles de la classe ont constaté d’énormes gains de performance avec l’aide de l’IA, tandis que les meilleurs étudiants de la classe ont vu leurs performances décliner. » [2]

Sur le plan créatif, les améliorations se manifestent plus particulièrement dans les tâches de créativité divergente comme les séances de remue-méninges (en anglais, brainstorming).

L’IA générative est exhaustive mais pas très originale

En règle générale, les outils d’IA générative créent dans le même style que leurs données d’entraînement* et se limitent à la créativité combinatoire et peut-être la créativité exploratoire mais pas la créativité transformationnelle [3].

« ChatGPT réduit la gamme d’idées que les sujets génèrent en moyenne » [3]  

 « De plus, ChatGPT était plus efficace pour générer de nouvelles
idées incrémentales plutôt que radicales » [5] 

L’IA générative est donc encore très loin de reproduire les « moments eurêka ! » des personnes hautement créatives et la créativité transformationnelle, qui combinent à la fois la créativité divergente et convergente avec un désir viscéral de parvenir à la meilleure solution ou de créer un chef-d’œuvre.

* Note: Techniquement à l’intérieur de la distribution statistique de leurs données d’entraînement.

Problème de propriété intellectuelle

Les entreprises technologiques productrices d’outils d’IA générative insistent sur le fait que leurs modèles pour fonctionner doivent être entraînés sur toute la propriété intellectuelle du monde ratissée sur la Toile, mais ces entreprises n’ont versé que peu ou pas de compensation aux artistes, écrivains et autres personnes qui ont créés cette propriété intellectuelle.

Il y a un problème éthique quand des outils d’IA générative peuvent éventuellement remplacer à une échelle industrielle des artistes et leurs moyens de subsistance. Pire, ajoutant l’insulte à l’injure en utilisant les œuvres de ces artistes collectées sur la Toile pour entraîner des modèles génératifs. C’est pourquoi de nombreux artistes, auteurs et éditeurs de livres dont le New York Times ont entamé des poursuites pour violation de droits d’auteur.

L’empreinte environnementale de l’IA générative est considérable

L’IA générative a un impact environnemental considérable en termes de consommation d’électricité, d’émissions de gaz à effet de serre et de consommation d’eau.

Par exemple, un moteur de recherche génératif utilise « 30 fois plus d’énergie » qu’un moteur de recherche classique, alerte la chercheuse Sasha Luccioni qui étudie l’impact environnemental de cette nouvelle technologie. Aussi, produire une image en haute définition à l’aide d’un outil de génération texte-à-image consomme autant d’énergie que recharger entièrement la batterie de son téléphone portable.

À long terme les systèmes d’IA seront-ils plus créatifs que les êtres humains?

Si on est matérialiste, il n’y a aucune raison de penser qu’un système d’IA ne puisse être autant, voire plus créatif qu’un être humain, du moins à long terme.

Par contre la complexité extrême d’un cerveau et ses multiples mécanismes de connexion et de renforcement / inhibition sont un atout qu’un système d’IA n’a pas malgré qu’il ait tout lu les textes sur la Toile… Par exemple, l’architecture des grands modèles de langue (en anglais, LLM: Large Language Models) est incomparablement plus simple que le cerveau d’un chat.

Somme toute, les êtres humains ne vont pas renoncer à leur créativité, ni à leur capacité de résoudre des problèmes ou à écrire des textes par eux-mêmes. Un peu comme on ne renonce pas à jouer aux échecs, lever des poids ou courir parce que des machines peuvent faire mieux.

Conclusion: Utilisée avec modération, l’IA générative est synergique à EurekIA™

S’appuyant sur la science et dans un esprit pragmatique, l’équipe EurekIA™ recommande de choisir le meilleur outil adapté à chaque travail à réaliser tout en respectant le droit d’auteur et les facultés cognitives de ses utilisateurs. Par exemple, l’IA générative peut être utile pour contrer le syndrome de la page blanche, reformuler un texte, générer une liste exhaustive d’idées usuelles ou générer le brouillon d’un texte dans une langue étrangère qui sera révisé par un traducteur professionnel.

C’est la dose qui fait le poison et aussi la durée d’exposition. Les outils d’IA utilisés avec modération sont sans doute une bonne chose, c’est l’excès et les effets à long terme qui sont inquiétants comme la perte graduelle de votre créativité naturelle.

Complémentaire de l’IA générative, EurekIA™ centre le processus créatif sur l’humain tout en permettant une utilisation responsable et éthique de technologies logicielles d’IA.

Bibliographie

[1] NOY S. & ZHANG W. (2 mars 2023) « Experimental Evidence on the Productivity Effects of Generative Artificial Intelligence« , MIT, Working Paper

[2] CHOI J.H. & SCHWARCZ D. (13 août 2023)) « AI Assistance in Legal Analysis: An Empirical Study« , University of Minnesota Law School Legal Studies, Research Paper Series

[3] LAKHANI K. & al (22 septembre 2023) « Navigating the Jagged Technological Frontier: Field Experimental Evidence of the Effects of AI on Knowledge Worker Productivity and Quality« , Harvard Business School Technology & Operations Mgt., Unit Working Paper, (24-013). 

[4] BERREBY D. (28 décembre 2023). « ChatGPT Helps, and Worries, Business Consultants, Study Finds« , New-York Times.

[5] LEE, B. C., & CHUNG, J. (12 août 2024). « An empirical investigation of the impact of ChatGPT on creativity« . Nature Human Behaviour, 1-9.

[6] BIRKEL, Lindy, (septembre 2017). « Decreased use of spatial pattern separation in contemporary lifestyles may contribute to hippocampal atrophy and diminish mental health » Medical Hypotheses, 2017, vol. 107, p. 55-63.

[7] JABR, Ferris (8 décembre 2011). « Cache Cab: Taxi Drivers’ Brains Grow to Navigate London’s Streets« , Scientific American.

[8] DUBUC, Bruno (2024) “Notre cerveau à tous les niveaux – Du Big Bang à la conscience sociale”, Écosociété, 2024.

[9] DRAGANSKY, B., GASER, C., BUSCH, V., SCHUIERER, G., BOGDAHN, U., MAY, A. (2004). Nature, 427(6972), 311-312. “Neuroplasticity: Changes in grey matter induced by training”. Nature, 427(6972), 311-312

[10] GERLICH, M. (2025). « AI Tools in Society: Impacts on Cognitive Offloading and the Future of Critical Thinking« . Societies, 15(1), 6

EurekIA™ offre aux créatifs du monde entier un dispositif physique, le « Capteur d’idées » EurekIA™ qui, combiné à une application mobile, détecte le moment où vous entrez dans un état hypnagogique (entre l’éveil et le sommeil) et enregistre les idées qui émergent pendant cette période de « Sieste créative ».

En s’endormant, l’utilisateur laisse tomber le « Capteur d’idées » EurekIA™ au sol. La chute est détectée, l’utilisateur est réveillé et enregistre vocalement ses idées créatives et peut les convertir automatiquement en texte, avec un minimum de friction et sans risque de perdre de précieux « moments eurêka ! ». 

L’application mobile dédiée (Android ou iOS) se base sur des technologies logicielles avancées dont la reconnaissance sonore et la transcription par apprentissage profond, des technologies d’IA (brevet en instance).

L’œuf EurekIA™ 

Faisant écho à la légende de l’œuf de Colomb avec son bout tronqué et la véritable fascination de Dalí pour les formes ovoïdes, l’« œuf EurekIA™ » est avant tout un objet symbolique. Au-delà de son attrait esthétique et de sa forme harmonieuse, l’œuf représente le commencement, le germe d’une aventure créative, incarnant le fait que « Tout commence par une idée ! », ou encore le début d’une vie…

L’usage d’un « Capteur d’idées » s’inscrit dans une démarche rituelle, le rituel de la “Sieste créative”. De plus, placé dans votre environnement de travail, l’œuf EurekIA™ sert de rappel afin de créer plus aisément l’habitude de la “Sieste créative”.

La taille de l’œuf EurekIA™ est soigneusement étudiée pour éviter qu’il ne se coince dans votre main tout en étant suffisamment grand pour devenir un objet fétiche. 

Sa forme conique d’œuf piriforme est inspirée de l’œuf du Petit Pingouin (Alca torda) qui niche sur les falaises rocheuses des îles du Bas-Saint-Laurent au Québec. Cette forme conique assure que l’œuf, lorsqu’on le pousse, tournera sur lui-même plutôt que de rouler vers la mer.

Enfin, sur une touche plus personnelle, l’œuf est une idée inspirante d’Alice, la fille aînée de Claude Coulombe, l’un des fondateurs d’EurekIA™.

Vous pouvez initier une « Sieste créative » en quelques minutes. Le “Capteur d’idées” EurekIA™ et son logiciel mobile sont simples à utiliser et conviviaux.

De plus. nos conseils sur la pratique de la “Sieste créative” vous permettront d’intégrer facilement cette pratique innovante à votre processus créatif sans aucune difficulté technique.

Vos idées sont précieuses et uniques. L’équipe d’EurekIA™ accorde la priorité à la sécurité de vos données. Notre plateforme utilise un cryptage robuste et des mesures de sécurité pour garantir la protection de vos idées et de vos informations personnelles.

Dans un premier temps, nous nous engageons à ne pas divulguer, ni consulter, ni entraîner des modèles d’IA avec vos données. Nous nous engageons également à mettre en place rapidement une Fiducie de données pour les utilisateurs d’EurekIA™ qui s’abonneront au service de transcription en ligne et l’Atelier d’idéation™ (en développement).

L’Atelier d’idéation EurekIA™ (en développement) est conçu pour les projets collaboratifs. Il prendra en charge le partage d’idées, le remue-méninges et le travail d’équipe, ce qui facilitera la collaboration sur des projets innovants.

À court terme, la mission d’EurekIA™ est « Exploiter le pouvoir créatif des « moments eurêka ! » en plaçant l’humain au centre du processus créatif grâce à la « Sieste créative » assistée du « Capteur d’idées » ».

À plus long terme, la mission d’EurekIA™ est « Maintenir, entraîner et développer la cognition humaine grâce aux neurosciences et l’intelligence artificielle ».

La poursuite de notre mission passe en bonne partie par la recherche appliquée. En accord avec cette mission, EurekIA™ met sur pied un programme de science citoyenne. 

Ainsi, vous contribuerez à la recherche scientifique et deviendrez un acteur de futures découvertes ! 

Rejoignez nos projets de science citoyenne et aidez-nous à découvrir la manière dont les gens créent, leurs “moments eurêka ! », leurs processus créatifs, leur intérêt pour des techniques comme la « Sieste créative » et des outils tels le “Capteur d’idées” EurekIA™.

Plus d’informations à venir…

Basée à Montréal, ville reconnue pour sa créativité et son écosystème de recherche en neurosciences et en technologie logicielle avancée, particulièrement en intelligence artificielle, EurekIA™ est la plus récente aventure technologique d’une équipe chevronnée de scientifiques, de créatifs et d’entrepreneurs en série. 

Notre objectif à court terme est de stimuler, multiplier et exploiter le pouvoir créatif des « moments eurêka ! » et des « Siestes créatives », en plaçant l’humain au centre du processus créatif. À plus long terme, notre quête est de contribuer au maintien, à l’entraînement et au développement de la cognition humaine.

Les différentes versions d’EurekIA™

EurekIA™ se décline en plusieurs versions dont une version gratuite, une version professionnelle et une version pour entreprise. Chaque niveau offre différentes fonctionnalités et avantages pour répondre à vos besoins en créativité. 

1- Application mobile EurekIA™ Découverte – gratuite: 

EurekIA™ Découverte est un gratuiciel (en anglais, freemium) qui permet de s’initier à la technique de la « Sieste créative » sans débourser un sou. 

L’application mobile EurekIA™ est téléchargeable gratuitement sur le site Google Play pour les téléphones Androïd ou sur l’Apple Store pour les iPhone / iOS.

Avec la version Découverte d’EurekIA, en guise de « Capteur d’idées », vous pouvez utiliser une cuillère et une assiette comme Dalí, une clochette, un grelot, un trousseau de clés, etc. L’application mobile EurekIA™ détectera le moment de votre endormissement en identifiant le son de tintement caractéristique de ces objets lorsqu’ils touchent le sol.  

EurekIA™ Découverte est une version limitée / bridée*  qui offre une option de déblocage vers la version EurekIA Pro.

*: Un seul fichier d’enregistrement audio d’une durée maximale de deux  minutes. Pas de transcription.

2- Application mobile EurekIA™ Pro – 2.99 $ CAD ou 1.99 $ USD: 

La version EurekIA™ Pro de l’application mobile offre un nombre illimités d’enregistrements audio sans limite de durée (tant qu’il y a de l’espace sur votre téléphone). 

EurekIA™ Pro permet également la transcription automatique de vos idées (audio vers texte) avec le logiciel et le matériel de votre téléphone mobile.

3- « Capteur d’idées«  l’œuf EurekIA™ – 41.99 $ CAD ou 29.99 $ USD  

Pour ritualiser vos siestes créatives, procurez-vous un « Capteur d’idées » EurekIA™ sous la forme d’un œuf stylé avec son bout tronqué symbolique et une clochette intégré. Au-delà de son attrait esthétique et de sa forme harmonieuse, l’Œuf EurekIA™ représente le commencement, le germe d’une aventure créative, incarnant le fait que « Tout commence par une idée ! ».

L’usage d’un « Capteur d’idées » s’inscrit dans une démarche rituelle, le rituel de la “Sieste créative”. De plus, placé dans votre environnement de travail, l’Œuf EurekIA™ sert de rappel afin de créer plus aisément l’habitude de la “Sieste créative”.

4- Service de transcription EurekIA (en développement) – 6.99 $ CAD ou 4.99 $ USD par mois

Pour une transcription automatique de meilleure qualité de vos idées (audio vers texte) vous pourrez accéder au « Service de transcription » EurekIA™ (en développement) avec une formule pratique d’abonnement mensuel. Cette fonctionnalité se configure dans l’application mobile EurekIA™ Pro.

5- Application EurekIA™ Entreprise

Cette version est conçue pour des partenaires et distributeurs à valeur ajoutée qui l’utiliseront dans le cadre d’activités de formation ou de soutien à la créativité en entreprise.

Pour plus d’information, veuillez nous contacter: info@eurekia.com

Débuter avec EurekIA™ est très simple.

Téléchargez l’application mobile EurekIA™ sur le site Google Play pour un téléphone Androïd ou sur Apple Store pour un iPhone / iOS.

Lancez l’application mobile, débutez une « Sieste créative«  et capturez vos « moments eurêka ! »

Visitez notre site Web pour des instructions plus détaillées et du soutien. Entre autres, lisez la rubrique « Comment se déroule une « Sieste créative » ? » de cette foire au questions.